Je suis arrivé(e) dans la ville de Berkeley le : 07/11/2015 et j'ai envoyé : 19 mails. J'ai : 32 ans et j'habite : sur le campus. points pour les : iota thêta pi En écoutant les "on-dit" je ressemble à : holland roden Je dois mon jolie minois à : aurélie et mon pseudo sur la toile c'est : .scarface
bring it on. (clover), Sam 7 Nov - 18:17
there is no time. let's enjoy what's left of it.
clover & olivia
Je soupire. Encore une fois, j'ai complètement oublié d'aller chercher les bouquins manquant pour ma soirée d'études à la bibliothèque. Déjà l'année débutée et les professeurs s'amusent à s'acharner sur nous, à nous mettre des devoirs plein la gueule et à bien vouloir qu'on s'y empêtre. J'enfile ma robe noire portée précédemment, avec des bottes de la même couleur et je laisse mes longs cheveux lâchés. Je sors de ma chambre et me dirige vers la bibliothèque. Le livre dont j'ai besoin se trouve dans l'une des pires sections. Tout est trop haut, là-bas. En général, je n'arrive jamais à prendre ces saletés - parce qu'on se le dise, j'aurais dû avoir la taille de mannequin de ma mère. Je soupire, encore, café à la main et découragement au visage. Je me rends vers la section maudite - que je maudis moi-même, hein. Heureusement que mes bottes à talon me filent un sérieux coup de main, aujourd'hui. Avant de faire une tentative pour m'emparer d'un des livres dont j'ai affreusement besoin, je pose mon café sur une table environnante et je tente de les chercher du regard. Je n'entends aucun murmures, c'est étrange. La bibliothèque serait-elle déserte ? Toujours en observant les titres qui me font horreur, je songe à aller me chercher une chaise pour les attraper. Ce serait assurément plus facile, mais avec ma chance, je me casserais une jambe et adieu les cheers, adieu la danse. Mon dieu, il ne vaut mieux pas que j'y pense. Je me concentre donc sur ces maudits livres, tentant de les attraper, un par un, sans entendre le bruit qui commence à surgir derrière moi.
acidbrain
Clover Sales-Hale
Je suis arrivé(e) dans la ville de Berkeley le : 29/10/2015 et j'ai envoyé : 194 mails. J'ai : 28 ans et j'habite : /. points pour les : Lambda Zêta Xi En écoutant les "on-dit" je ressemble à : Alexander Ludwig Je dois mon jolie minois à : Mariielutiine et mon pseudo sur la toile c'est : Infinity Queen.
Re: bring it on. (clover), Sam 7 Nov - 19:09
Il était temps pour moi que je travaille, ou que je fasse semblant tout du moins. Alors j'allais à la bibliothèque. Pourtant je n'avais pas vraiment la tête à ça. Mon esprit était envoyé ailleurs, essayant de faire le point sur la nouvelle que je venais d'apprendre. D'ailleurs, j'étais tellement ailleurs que je réussis à me prendre une porte en pleine figure. Bon sang que ça faisait mal! Je plaçais ma main au dessus de mon oeil et j'avançais vers la bibliothèque. Je pris un livre de droit, pensant être seul et grommeler contre moi même pour n'avoir fait attention à rien.
Soudain, j'entendis un bruit. Quelqu'un était là. Je vis soudain des cheveux roux et une silhouette que j'avais enfin reconnue. Olivia, une des cheerleaders. C'était pas Olivia ma petite amie, mais une autre Olivia, une autre rousse, plus âgée tout aussi belle. J'allais récupérer son livre avant qu'il n'arrive quoi que ce soit et je lançais:
"Tu comptais finir avec une cheville en moins? Ce n'est pas vraiment le moment..."
Je me moquais légèrement d'elle.
Olivia E.-J. Di Bellone
Je suis arrivé(e) dans la ville de Berkeley le : 07/11/2015 et j'ai envoyé : 19 mails. J'ai : 32 ans et j'habite : sur le campus. points pour les : iota thêta pi En écoutant les "on-dit" je ressemble à : holland roden Je dois mon jolie minois à : aurélie et mon pseudo sur la toile c'est : .scarface
Re: bring it on. (clover), Sam 7 Nov - 19:59
there is no time. let's enjoy what's left of it.
clover & olivia
Hein ? Hébétée, je me retourne vers la voix qui vient de surgir derrière moi. Je vois une main s'emparer du livre que je tenais l'instant plus tôt et je me retourne, surprise qu'on vienne à mon secours. Je sais que je le connais, ce garçon, mais d'où ? Il ne m'est pas inconnu, mais où l'ai-je aperçu ? Probablement dans l'université, mais ce n'est pas tout. Pendant que je cherche ce petit détail dans le creux de ma mémoire, il me rappelle que ce ne serait pas le moment de me briser une cheville. Et mon cerveau tique, l'information s'étant dévoilée, enfin. « Clover, non? » Je lui souris, habituée à me perdre parmi tous les noms des cheerleaders que j'ai pu voir en sept ans. J'ai une liste, sur mon bureau, dans ma chambre, mais je me refuse à la traîner partout. Je suis déjà suffisamment ordonnée sans avoir besoin de devenir maniaque et d'identifier tout le monde à l'aide d'un bout de papier. « En effet, ce ne serait pas du tout le moment. Mais je n'y comptais pas, j'ai juste ce problème tu vois. » Je passe une main nerveuse dans mes cheveux sans vraiment m'en apercevoir - un tique, sûrement. « Merci, pour le livre. », je lance avec un sourire rayonnant.
acidbrain
Clover Sales-Hale
Je suis arrivé(e) dans la ville de Berkeley le : 29/10/2015 et j'ai envoyé : 194 mails. J'ai : 28 ans et j'habite : /. points pour les : Lambda Zêta Xi En écoutant les "on-dit" je ressemble à : Alexander Ludwig Je dois mon jolie minois à : Mariielutiine et mon pseudo sur la toile c'est : Infinity Queen.
Re: bring it on. (clover), Mar 10 Nov - 10:03
Je restais à la regarder. Une autre Olivia rousse. Etait-ce qu'une coïncidence? Je ne le savais pas. Une cheerleader aussi. C'était la première fois que j'étais dans une équipe où j'étais le seul garçon. Est-ce que cette différence me gênait? Non. Peut être pas encore. Enfin, j'en savais rien. J'entendais les bruits où on me traitait de gay refoulé. Parce qu'aucun garçon ne faisait de la gym ou de la danse peut être? Les harceleurs étaient juste stupides ou jaloux et j'adorais les ignorer. Je regardais alors Olivia avant de dire:
"C'était rien. Alors toi aussi, tu es venue travailler loin de la foule? C'est vrai que c'est impossible de travailler quand il y a du monde..."
Parler de banalités me permettait de stopper toute ces pensées qui s'accumulaient maintenant dans ma tête. Olivia avait dit oui à ma proposition et je me sentais heureux. De l'autre côté, je crois qu'il aurait fallu que j'étudie ailleurs qu'à Berkeley mais qu'importe, maintenant j'y étais. Je la regardais et je lançais:
"J'ai pas envie de travailller en fait, à quoi ça sert? A rien..
C'était vrai, j'étais en politique car je n'avais pas su choisir quoi faire. Et maintenant, je m'ennuyais en cours .
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Je soupire. Encore une fois, j'ai complètement oublié d'aller chercher les bouquins manquant pour ma soirée d'études à la bibliothèque. Déjà l'année débutée et les professeurs s'amusent à s'acharner sur nous, à nous mettre des devoirs plein la gueule et à bien vouloir qu'on s'y empêtre. J'enfile ma robe noire portée précédemment, avec des bottes de la même couleur et je laisse mes longs cheveux lâchés. Je sors de ma chambre et me dirige vers la bibliothèque. Le livre dont j'ai besoin se trouve dans l'une des pires sections. Tout est trop haut, là-bas. En général, je n'arrive jamais à prendre ces saletés - parce qu'on se le dise, j'aurais dû avoir la taille de mannequin de ma mère. Je soupire, encore, café à la main et découragement au visage. Je me rends vers la section maudite - que je maudis moi-même, hein. Heureusement que mes bottes à talon me filent un sérieux coup de main, aujourd'hui. Avant de faire une tentative pour m'emparer d'un des livres dont j'ai affreusement besoin, je pose mon café sur une table environnante et je tente de les chercher du regard. Je n'entends aucun murmures, c'est étrange. La bibliothèque serait-elle déserte ? Toujours en observant les titres qui me font horreur, je songe à aller me chercher une chaise pour les attraper. Ce serait assurément plus facile, mais avec ma chance, je me casserais une jambe et adieu les cheers, adieu la danse. Mon dieu, il ne vaut mieux pas que j'y pense. Je me concentre donc sur ces maudits livres, tentant de les attraper, un par un, sans entendre le bruit qui commence à surgir derrière moi. 
